La Ciotat

.... colonisés enfin par les Romains qui firent de la petite bourgade un port de commerce et militaire, contribuant ainsi à sa prospérité rapide. Subissant les invasions barbares, christianisée, La Ciotat vit plusieurs monastères s’implanter alentour qui permirent au village de renouer avec la croissance, de s’urbaniser, au tournant du millénaire, gagnant peu à peu son autonomie économique.

Une cité portuaire.
Grâce à ses importantes activités portuaires, soutenues par la construction navale, La Ciotat connut une forte immigration régionale mais aussi italienne qui participèrent de la richesse de la cité. Moins heureux que les périodes précédentes, le XVIIIe siècle marqua un certain déclin, la ville souffrant d’épidémies à répétition, notamment de la peste, qui freinèrent les activités commerciales de la ville, bientôt accentué par la période révolutionnaire et les raids anglais du Premier Empire.

Une économie dynamique.
Au XIXe siècle, La Ciotat renoua avec la croissance en tirant profit de la révolution industrielle. Les petites manufactures laissèrent peu à peu la place à de vastes chantiers navals qui fondèrent la vie économique ciotadenne contemporaine. Aujourd’hui, des zones d’activité se sont substituées aux anciennes activités portuaires et navales avec, notamment, les sites Athelia qui regroupent industrie, artisanat, pôle médical, les nouvelles technologies aussi, induisant dès lors une démographie positive.

Une station balnéaire recherchée.
A quelques encablures de Marseille, entre Côte d’Azur et Provence, La Ciotat n’est pas seulement un pôle économique régional mais aussi une station balnéaire avec pas moins de six kilomètres de plage, une côte sauvage propice aux promenades comme l’est le parc du Mugel et ses douze hectares de jardins botaniques, ses quatre ports, entre rues piétonnes et squares ou jardins, les forêts alentour, l’île Verte. Auxquels s’ajoutent un patrimoine religieux du XVIIe siècle avec d’innombrables chapelles, mais aussi activités nautiques autour du port de plaisance ou visites culturelles dans la patrie du cinéma et de la pétanque

Une diversité étonnante.
Composé à 17% de résidences secondaires et à 36% de maisons individuelles, le parc immobilier de La Ciotat offre une diversité que ne laisse pas transparaître son histoire industrielle car la ville est depuis près de deux siècles une destination de villégiature, ce dont témoignent les nombreuses villas près du bord de mer mais aussi les immeubles collectifs de standing, notamment dans un centre-ville en cours de rénovation. Un habitat attractif en location saisonnière mais aussi toute l’année ou à l’achat, sans compter les quartiers résidentiels en périphérie aux prix très compétitifs.