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Sur le site même de Genay, la découverte des restes d’un Néandertalien a prouvé l’occupation de la région quelque 80 mille ans avant notre ère.

Bien qu’elle bénéficie d’un code postal, La Varenne-Saint-Hilaire n’est pas une commune mais un quartier résidentiel de Saint-Maur-des-Fossés dont elle fut un village voisin jusqu’à la Révolution.

Occupée bien avant notre ère par des Celtes notamment, cette région du Rhône fut colonisée par les Romains qui la désenclavèrent avec la construction de grandes voies avant de fonder Lugdunum, future Lyon.

Même si cette région abrita de nombreux domaines agricoles gallo-romains, le site de Péronne entra dans l’Histoire quand la future sainte Radegonde, fille du roi de la Thuringe, s’y réfugia.

Probablement visitée dès le Xe siècle, puis conquise à plusieurs reprises par divers navigateurs de l’Europe conquérante, La Réunion demeura déserte jusqu’au XVIIe siècle.

Si le village de Burgus Reginae apparut dès le XIIe siècle, on se perd en conjectures quant à l’origine d’un nom qu’aucune hypothèse sérieuse ne saurait expliquer.

Ainsi que l’ont attesté de nombreuses fouilles, le site de Saint-Bonnet fut peuplé bien avant notre ère, notamment par des Gaulois Allobroges.

Alors que le site avait accueilli de nombreux hameaux à l’époque gallo-romaine, il fut déserté à la chute de l’Empire et devint un domaine rural mérovingien connu sous l’appellation Loco Sancto.

S’il n’existe guère de doute sur une occupation du site dès l’époque romaine, ce fut aux IXe ou Xe siècles que Martellum apparut dans l’Histoire.

Au cœur d’une région recouverte par la forêt, des Gaulois s’installèrent sur le site de Montfermeil où ils subsistèrent d’agriculture vivrière et céréalière, d’élevage, mais aussi du commerce fluvial.

Peuplée bien avant notre ère par des Celtes puis par des Gaulois, la région nantaise fut colonisée par les Romains qui en firent une contrée prospère.

Situé au cœur d’une vallée au confluent de plusieurs rivières, le site de Bougival accueillit à l’époque gallo-romaine un domaine agricole le long d’une route importante tracée par Rome.

Alors que le littoral avait bénéficié des constructions et infrastructures romaines, l’intérieur du pays normand resta plus ou moins inhabité tout au long du premier millénaire.

Peuplé dès l’âge du bronze, le site fut conquis par des Celtes et des Gaulois Allobroges qui s’installèrent sur les rives de l’Isère pour donner naissance à de nombreux hameaux.

Au VIIe siècle, Audoenus Dado, évêque de Rouen, mourut dans une résidence royale mérovingienne implantée à l’emplacement d’un ancien domaine agricole gallo-romain, villa Clippiacum.

Si le site de Montélimar fut peuplé depuis toujours, ce fut l’invasion romaine puis la construction de la voie Agrippa entre Arles et Lyon qui permirent au village d’Acunum de se développer.

A l’instar de l’ensemble du pourtour méditerranéen, le site Saint-Cyr connut une longue histoire entamée quelques milliers d’années avant notre ère.

Bienvenue dans le massif des Aravis, au Grand Bornand. Les chalets d’alpage comme celui-ci abritaient autrefois les paysans pendant l’estive

Lille, sa Grand’place, mais aussi ses corons et ses cités ouvrières. Au XIXème siècle, les compagnies minières y logeaient leurs ouvriers.

Nous sommes aujourd’hui à Toulouse, une cité caractéristique du Midi de la France