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Au cœur d’un territoire essentiellement recouvert de forêts se formèrent quelques rares hameaux au début de notre ère le long d’une voie romaine tracée entre Paris et Dreux.

Région bretonne habitée depuis fort longtemps comme l’attestent de nombreux mégalithes, les Côtes-d’Amor furent peuplées de Gaulois puis colonisées par les Romains.

Petit village fortifié connu sous le nom de Turris Villa, Trouville fut créée par les Romains ou, selon d’autres sources, se serait formée autour d’une maison forte implantée par un Viking.

Alors que Bayonne avait été fondée sous l’empire romain, Ustaritz n’apparut qu’à la fin du premier millénaire, petit hameau de maisons dispersées sur la plaine au bord de la Nive.

Ces terres provençales furent peuplées de tout temps, fréquentées par des Ligures, des Phocéens puis par les Romains qui y construisirent un aqueduc chargé d’alimenter en eau Antipolis, future Antibes.

Peuplée depuis le néolithique, cette région franc-comtoise se développa avec la sédentarisation de Gaulois Séquanes, colonisée par les Romains avant d’être désertée lors des invasions burgondes.

Au sein d’un Vexin français peuplé depuis toujours, le site de Vallangoujard accueillit des Gaulois Véliocasses puis connut un réel essor économique et démographique lors de la conquête des Gaules par César.

Dans une contrée peuplée depuis le néolithique, les Romains assurèrent une réelle prospérité jusqu’aux invasions vikings et normandes, la christianisation des lieux participant de son essor.

Si le site connut une occupation humaine depuis la nuit des temps comme en attestent les nombreux vestiges préhistoriques, ce ne fut qu’à la fin du premier millénaire que Vauvert apparut dans l’Histoire.

Plusieurs siècles avant notre ère, diverses peuplades se sédentarisèrent dans cette région savoyarde, Ligures puis Allobroges, subsistant d’agriculture vivrière et d’élevage avant la colonisation romaine.

Si la région connut un réel essor avec la colonisation romaine, zone frontière entre Gaulois Eburovices et Véliocasses, Vernon n’apparut dans l’Histoire qu’au début du deuxième millénaire.

Même si cette région fut indubitablement peuplée depuis toujours, ce ne fut qu’à l’époque mérovingienne, après les invasions barbares, que s’y formèrent des hameaux.

Peuplé quelques millénaires avant notre ère comme en témoigne le menhir de Mousseau, le site de Vigneux connut les vicissitudes de la région parisienne, notamment les invasions barbares puis normandes.

Probablement peuplée avant notre ère sur un site désenclavé par la chaussée Jules César entre Paris et Rouen, Vigny apparut dans l’Histoire après les invasions normandes qui avaient dévasté la région.

Ce fut à l’époque gallo-romaine que les hameaux se multiplièrent sur ce site de la région parisienne, le plus souvent à proximité de villae rusticae, des domaines agricoles.

Si une villa rustica gallo-romaine, un domaine agricole, a peut-être existé sur le site de Villecresnes, les invasions barbares désertifièrent la région avant que les Francs ne s’y installent définitivement.

Au cœur d’une côte méditerranéenne fréquentée depuis toujours, Ligures puis Phocéens venus de Grèce implantèrent des comptoirs commerciaux sur le littoral provençal.

Peuplé depuis le néolithique, le site de Villejuif accueillit probablement une villa rustica, un domaine agricole, à l’époque gallo-romaine sur les hauteurs du plateau.

Alors que la conquête des Gaules avait désenclavé cette région peu avant notre ère, de nombreux domaines agricoles, des villae rusticae, s’implantèrent le long des voies romaines.

Alors que la Provence avait été désenclavée par le tracé de voies romaines, le site de Saint-Maximin qui s’étendait sur un territoire marécageux, ne fut peuplé qu’à partir du IVe siècle.