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L UNION

L'Union

Publié le 04/01/2013 - Mis à jour le 24/11/2016
Au fil des siècles, de nombreux hameaux s’étaient établie en périphérie de Tolosa, future Toulouse, profitant de l’expansion de cette grande ville fondée par des Celtes deux siècles avant notre ère.
Informations
Département : Haute-Garonne (31)
Région : MIDI-PYRENEES
Population :
Propriétaire : (source : Insee)
Les biens à louer
Région : MIDI-PYRENEES
Prix moyen du marché : 604 €
Les biens en vente
Région : MIDI-PYRENEES
Prix moyen du marché : 164 507 €

Une région qui fut désenclavée par les voies romaine avant d’être christianisée dès le IVe siècle, soumise à l’autorité de Clovis avant de subir les invasions sarrasines au VIIIe siècle. Si le système féodal permit à la région de se développer grâce à la puissance des comtes de Toulouse, de nombreux villages furent dévastés par le phénomène cathare et les croisades albigeoises menées par Simon de Montfort contre les hérétiques au début du deuxième millénaire.



Deux écarts qui forment paroisse.
Sur les bords d’une petite rivière, l’Hers, quelques maisons s’étaient implantées depuis des temps reculés. Au Moyen Age, un grand domaine agricole y avait prospéré, possession des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem au XIIe siècle, autour duquel s’agrégèrent deux écarts formant paroisse, Belbèze et La Cournaudric. Un territoire qui fut rattaché à la couronne de France au XIIIe siècle à l’instar du comté de Toulouse. Dévasté par le Prince Noir au cours de la guerre de Cent Ans, le site dut attendre la Renaissance pour connaître un nouvel essor économique et démographique.



Deux hameaux enfin réunis.
Au XVIe siècle, un aqueduc fut construit ainsi qu’un château sur le domaine de La Cornaudrix. Deux siècles plus tard, le château de Belbèze était édifié tandis que les méandres de l’Hers étaient enfin canalisés. En 1791, Belbèze et Lacournaudric furent réunis pour former la commune de Saint-Jean-de-Kyrie-Eleison, rebaptisée L’Union trois ans plus tard, dont les terres ecclésiastiques et nobles furent vendus au titre des biens nationaux. Au XIXe siècle, la commune ne comptait que 700 habitants environ, petit bourg rural aux terres de labours, de vignes et de prairies.



Une démographie positive.
L’arrivée du chemin de fer au tournant du XXe siècle ne permit pas à L’Union d’enrayer sa chute démographique, ne comptant plus que 400 habitants dans l’entre-deux-guerres. Il fallut attendre les Trente Glorieuses pour que la ville se modernise et s’urbanise, voyant se multiplier les lotissements et les zones d’activités économiques. Aujourd’hui, la commune bénéficie du gigantesque bassin d’emplois que constitue la technopole industrielle de Toulouse avec aéronautique, informatique ou  biotechnologie, et connaît enfin une démographie largement positive.



Un cadre de vie attractif.
Desservie par l’autoroute et par le périphérique toulousain, par les transports en commun de la Ville Rose, la commune offre aux Unionais un cadre de vie agréable et de nombreux équipements avec des établissements scolaires jusqu’au collège, une école d’enseignement artistique avec musique et arts plastiques, un cinéma, sans oublier les installations sportives avec piscine, stade omnisports et centre de loisirs.



Un immobilier recherché.
Ville résidentielle sur la route d’Albi, à proximité de l’Espagne mais aussi des pistes de ski pyrénéennes, L’Union tire profit des infrastructures toulousaines et d’un climat particulièrement agréable. Et abrite un parc immobilier composé à 93% de maisons individuelles qui se montre attractif pour les populations actives de la métropole régionale qui y apprécient ses tarifs avantageux.

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