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Petit village entre marais, dunes et océan, peuplée de quelques pêcheurs, Saint-Jean-Luz ne connut ni l’occupation romaine, ni les invasions barbares mais deviendra possession anglaise comme toute l’Aquitaine avant de revenir à la Couronne française au milieu du XVe siècle.

Quand les Vikings quittèrent la région, dont la Roque de Lihou, première appellation du lieu, la famille Grant s’y installa, expliquant ainsi le nom de la ville selon certaines hypothèses.

Peuplé depuis le néolithique, le site de Fécamp connut l’invasion romaine qui lui assura une certaine prospérité dès le début de notre ère, profitant de son accès à la mer mais aussi de son négoce.

Si l’on en croit les vestiges du monde antique découverts en Franche-Comté, nul doute que la région fut habitée depuis toujours.

A l’époque gallo-romaine, Saint-Philibert-de-grand-Lieu s’appelait Déas, un nom qu’elle conserva jusqu’au XIIe siècle.

Sans aucun doute, le site de Montluçon fut celtique avant de voir les Romains s’y installer, sous le nom de Mont Lucius, puisqu’il s’agissait d’un piton et qu’un dénommé Lucius y avait établi son camp militaire.

Certainement habitée par les Celtes avant d’être occupée par les Romains, Annemasse était une petite bourgade, idéalement placée entre la Suisse et les vallées alpines.

Sur un site gallo-romain, Bondy a toujours été habitée, ce que confirmèrent des fouilles récentes qui mirent à jour une nécropole de plus de mille sépultures datant du Moyen-Age.

Le site de Clermont fut habité dès l’Antiquité, métropole des Arvernes, baptisée Augustonementum puis Arvenis à l’époque gallo-romaine avant de connaître l’expansion grâce à son siège épiscopal.

A l’image d’une bonne partie du sud de la France, la région paloise ne connut pas une population importante même si l’invasion romaine y a laissé ici ou là des camps militaires, voire quelques villages.

Ce fut au Vie siècle que des moines bénédictins de Saint-Germain-des-Prés s’installèrent sur le site d’Issy qui se transforma, en terres agricoles destinées à l’alimentation de Paris, dont la plus grande part était réservée à la vigne.

A l’image de nombreuses villes françaises, Dinan fut fondée autour d’un monastère au tournant du premier millénaire, voyant se construire un château au sommet de la butte qui surplombe la Rance.

Rendez-vous de chasse au cœur de la forêt construit par Louis VII, Fontainebleau fut une terre royale privilégiée qui se verra dotée, au fil des siècles et des rois, d’une chapelle, d’un pavillon, d’un hôpital.

Dans une région fort peu habitée, par des Ibères d’abord puis par les Romains, envahie par les Sarrasins, Perpignan n’exista réellement qu’à partir du Xe siècle.

Situé sur la route des Flandres, au bord de l’Oise, Pont-Saint-Maxence existe depuis l’époque gallo-romaine, mais sous différents intitulés au fil des siècles : Sancta Maxentia, Levandriacus ou Pont-sur-Oise.

Depuis le néolithique, la région thiaisienne a vraisemblablement connu le regroupement d’hommes comme l’ont démontré des fouilles récentes.

Habité par quelques tribus gauloises, puis colonisé par les Romains, le site de Vaulx-en-Velin tomba entre les mains des barbares Burgondes avant de passer sous l’égide de plusieurs seigneuries.

Peuplée par les Gaulois puis occupée par les Romains, l’ancienne Vesunna fut toujours prospère grâce à sa situation géographique stratégique en Aquitaine.

A l’image de quelques villes du territoire, généralement balnéaires, Deauville est une création ex nihilo de la deuxième moitié du XIXe siècle.

Construite sur les rives de la Seine, Choisy-le-Roi n’était, au Moyen-Age, qu’une aimable bourgade qui réunissait quelques pêcheurs et paysans, pour devenir paroisse au XIIIe siècle.