Agences immobilières CENTURY 21 : immobilier, achat, vente, location et activités de gestion immobilière
  1. Accueil
  2. conseil faire gérer
  3. Confier votre copropriété en gestion
Maison individuelle recherche copropriétaire

Maison individuelle recherche copropriétaire

Publié le 29/03/2017 - Mis à jour le 29/03/2017
Vous pensiez éviter les joies des assemblées générales de copropriété en achetant une maison individuelle ? Pas de chance, c'est une maison en copropriété. On appelle cela une copropriété horizontale...

Une copropriété horizontale, c'est une maison construite sur un terrain commun à plusieurs logements et dont le terrain appartient à tous. En effet, dans ce cas, le particulier n’est pas seul propriétaire du foncier sur lequel est construit son pavillon : le terrain n'est pas divisé mais réparti entre les copropriétaires. L'acheteur n'obtient pas un titre de propriété mais une quote-part d'une copropriété horizontale qui correspond au droit de jouissance d'une parcelle de terrain. C'est d'ailleurs une des principales différences avec un lotissement dans lequel l'acheteur devient totalement propriétaire du foncier et de la construction. Les copropriétaires ayant le plus de surface privée disponible pour leur maison payent le plus de charges et, par conséquent, disposent de plus de voix en assemblée générale.

 

Une copropriété horizontale bénéficie d'un certain nombre de parties communes : les terrains mais également les différents équipements tels qu'une piscine, un parking, un terrain de sport...

Un syndic doit forcément gérer la copropriété à la différence des lotissements pour lesquels la gestion est assurée par l'association syndicale libre. Un conseil syndical doit être élu parmi les copropriétaires, afin de contrôler la gestion du syndic et l'assister pour l'entretien du jardin et de la clôture, la gestion du budget de la copropriété, la mise en place de l'éclairage, l'aménagement du parking … La tenue d’une assemblée générale est obligatoire au moins une fois par an, sur convocation du syndic. Enfin, un règlement est également indispensable.

 

Parmi les contraintes, notons qu'un copropriétaire ayant l'intention d'effectuer des travaux, affectant ou non les parties communes, doit au préalable obtenir l'autorisation de l'assemblée générale. De même, si cela est possible par rapport aux règles d'urbanisme, pour sortir de la copropriété, le copropriétaire aspirant à l'indépendance doit obtenir l'accord à la majorité absolue des voix de tous les copropriétaires. Si le départ d'un copropriétaire engendre une hausse de charges, les autres copropriétaires pourront lui réclamer une contrepartie financière.

 

Attention à la revente : celle-ci peut se révéler plus compliquée que pour la vente d'une simple maison individuelle car les candidats peuvent être rebutés par les contraintes de la copropriété et les craintes de mésentente avec les autres habitants.

Suivez l’actualité immobilière et rejoignez-nous